En ouvrant ce nouveau chapitre, je voudrais rendre hommage à la Société des Amateurs et Animateurs de Folklore Aubois (S.A.A.F.A.), créée en 1959 et transformée en 1971 en Société des Amateurs de Folklore et Arts Champenois (S.A.F.A.C.), ainsi qu’à son président, mon ami Jean Daunay, pour s’être penchés pendant tant d’années sur les anciens métiers et coutumes du département, dans leur revue « Folklore de l’Aube ».
Aujourd’hui, les jeunes pensent que ce que nous relatons date de plusieurs siècles, alors que ce sont les métiers de leurs arrières grands parents ! Qu’ils soient fiers de leurs ancêtres.
Jadis, n'était pas cordonnier, menuisier, tanneur, barbier qui voulait. Il fallait pour battre la semelle, pour scier
une planche, pour passer un cuir au tan, pour raser, peigner, poudrer, que la loi le permit. Si un de ses ouvriers s'avisait de le quitter sans avoir obtenu son congé en forme, il pouvait mettre
la maréchaussée à ses chausses et le faire ramener de force à son métier. C'était le bon temps pour les patrons
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